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Néo-rurales et féministes (redif du 14 juin)
Émission du 29 novembre 2022 animée par François du gr Louise-Michel a monté une émission de MICROFEROCE sur Radio-Diois, (RDWA 101,7 et 107,5 FM) avec MICROFEROCE Radio-Diois, (RDWA 101,7 et 107,5 FM) ouvre son micro à des féministes néo rurales de la Drôme..
Redif de l’émission du 14 juin à 18h :
Néo-rurales et féministes
Aujourd’hui, PdQ est très reconnaissant à l’équipe de MICROFEROCE de lui avoir permis de rediffuser une de ses émissions mensuelles sur Radio-Diois, (RDWA 101,7 et 107,5 FM). Radio-Diois, c’est une impertinente radio implantée à Die, sous-préfecture du département de la Drôme. Tous les mois sur Radio-Diois, MICROFEROCE tend son micro à des femmes en lutte. Le 1er mars 22, elle se proposait de recevoir des féministes néo-rurales établies dans la région Rhône-Alpes.
Outre les casse-têtes techniques proprement agricoles et écologiques, Carole, Amandine et leurs copines y expliquent les difficultés à s’intégrer dans le monde paysan quand on est fille ou femme ou trans. Non, comme elles le disent, que le monde paysan soit plus sexiste que le reste de la société, mais que là comme ailleurs il faut traquer le patriarcat qui pousse et repousse comme du chiendent.Vous pouvez écouter ici l'émission :
Vous pouvez aussi télécharger l'émission (format audio/mpegMP3) :
- Néo-rurales et féministes (redif du 14 juin)
- Redif de l’émission du 14 juin à 18h :
Néo-rurales et féministes
Aujourd’hui, PdQ est très reconnaissant à l’équipe de MICROFEROCE de lui avoir permis de rediffuser une de ses émissions mensuelles sur Radio-Diois, (RDWA 101,7 et 107,5 FM). Radio-Diois, c’est une impertinente radio implantée à Die, sous-préfecture du département de la Drôme. Tous les mois sur Radio-Diois, MICROFEROCE tend son micro à des femmes en lutte. Le 1er mars 22, elle se proposait de recevoir des féministes néo-rurales établies dans la région Rhône-Alpes.
Outre les casse-têtes techniques proprement agricoles et écologiques, Carole, Amandine et leurs copines y expliquent les difficultés à s’intégrer dans le monde paysan quand on est fille ou femme ou trans. Non, comme elles le disent, que le monde paysan soit plus sexiste que le reste de la société, mais que là comme ailleurs il faut traquer le patriarcat qui pousse et repousse comme du chiendent.